La pandémie qui frappe notre pays et le monde entier nous rappelle à notre commune humanité.

Dans ce moment critique, où les plus faibles et les plus fragiles sont les premiers touchés, notre société ne tient que par la mobilisation et la détermination des soignants, de ceux qui permettent de nous nourrir et de ceux qui assurent la pérennité des services publics.

Notre pensée accompagne ceux qui à Nanterre ou ailleurs ont vu un des leurs disparaître.

Dans cette situation, il nous faut faire preuve de résilience et de civisme. Nous préparer à construire le monde de demain mais pour aujourd’hui, respecter les consignes de confinement et les gestes barrières.

Pour demain soyons convaincus, « ce qui ne nous tue pas nous rend plus forts » (Nietzsche).

Nous devons garder une confiance inébranlable en l’avenir. Il sera ce que nous en déciderons.