Groupe Modem-En Marche

Défendre le pouvoir d’achat des retraités nanterriens
L
e pouvoir d’achat des retraités est affecté par la hausse de la CSG et le sera prochainement par celle des cotisations mutualistes qui devraient augmenter de 9 %. Dès lors, toutes les occasions de rééquilibrer la situation sont des opportunités à prendre. C’est pour cette raison que le Groupe MoDem a voté le vœu présenté par la majorité municipale lors du conseil municipal du 16 octobre qui : « demande au département des Hauts-de-Seine de solliciter la région Île-de-France et Île-de-France Mobilités, afin de mettre en place un dispositif similaire à celui existant dans le Val-de-Marne, qui permettrait de prendre en charge la moitié du coût de la carte Navigo pour les retraités des Hauts-de-Seine ».
Cela ramènerait le coût de la carte Navigo à 37,60 euros sur la base du tarif actuel, les retraités non imposables continuant à bénéficier du tarif réduit à 25 euros.
Nous avons soutenu ce vote pour trois raisons principales :
La première est d’ordre social. Nous ne sommes pas dans une opposition stérile et soutenons tout ce qui va aider les Nanterriens à mieux vivre. Pour ceux qui bénéficiaient, lorsqu’ils étaient en activité, de la prise en charge par leur employeur, le départ en retraite s’accompagne actuellement d’une perte sèche de 75 euros. Or, la retraite est précisément le moment où l’on peut disposer de plus de temps pour resserrer les liens avec sa famille ou profiter de l’offre culturelle de l’Île-de-France.
La deuxième raison est d’ordre écologique. On ne dira jamais assez que la meilleure réponse aux enjeux environnementaux de l’Île-de-France est de créer de nouveaux réflexes d’organisation de ses trajets en développant l’offre et l’usage des transports en commun. La carte Navigo en est un instrument privilégié.
La troisième raison relève d’une réflexion plus générale sur la ville de Nanterre et les échéances municipales à venir. Entre le centre et la gauche, il existe bien sûr des sensibilités et des analyses différentes, tout autant d’ailleurs qu’au sein même de ces groupes politiques. Mais il n’existe pas non plus de frontières infranchissables qui empêcheraient de travailler ensemble pour le plus grand bien des Nanterriens. Sur bien des sujets, il peut exister des majorités d’idées ; comme celle qui nous rassemble sur l’accès au transport. Cela mériterait aussi d’être discuté sur d’autres sujets comme la laïcité et la défense des valeurs républicaines. Ce qui nous rassemble est certainement plus important que ce qui nous divise et crée les conditions d’un nouvel espace politique.
Pas de vagues
Faisant suite à l’agression avec une arme d’une enseignante dans un collège, de nombreuses autres personnes ont pris la parole sur les réseaux sociaux pour dénoncer à leur tour les violences qu’elles avaient subies ; auxquelles s’ajoute l’humiliation d’avoir à ne pas les divulguer au nom du principe de « pas de vagues ». Nous soutenons ces initiatives qui ont le mérite de ne plus cacher la réalité de la situation. Camus disait que mal nommer les choses c’est ajouter au malheur du monde. En réponse à cette parole libérée, il convient aussi que les pouvoirs publics interviennent pour sécuriser les établissements, protéger professeurs et élèves par l’action concertée des ministères de l’Intérieur et de l’Éducation nationale. Quant à la municipalité, elle se doit de mettre en place un dispositif de prévention et de sécurité afin d’assurer la sécurité nécessaire à la transmission du savoir…
Nous avons soutenu ce vote pour trois raisons principales :
La première est d’ordre social. Nous ne sommes pas dans une opposition stérile et soutenons tout ce qui va aider les Nanterriens à mieux vivre. Pour ceux qui bénéficiaient, lorsqu’ils étaient en activité, de la prise en charge par leur employeur, le départ en retraite s’accompagne actuellement d’une perte sèche de 75 euros. Or, la retraite est précisément le moment où l’on peut disposer de plus de temps pour resserrer les liens avec sa famille ou profiter de l’offre culturelle de l’Île-de-France.
La deuxième raison est d’ordre écologique. On ne dira jamais assez que la meilleure réponse aux enjeux environnementaux de l’Île-de-France est de créer de nouveaux réflexes d’organisation de ses trajets en développant l’offre et l’usage des transports en commun. La carte Navigo en est un instrument privilégié.
La troisième raison relève d’une réflexion plus générale sur la ville de Nanterre et les échéances municipales à venir. Entre le centre et la gauche, il existe bien sûr des sensibilités et des analyses différentes, tout autant d’ailleurs qu’au sein même de ces groupes politiques. Mais il n’existe pas non plus de frontières infranchissables qui empêcheraient de travailler ensemble pour le plus grand bien des Nanterriens. Sur bien des sujets, il peut exister des majorités d’idées ; comme celle qui nous rassemble sur l’accès au transport. Cela mériterait aussi d’être discuté sur d’autres sujets comme la laïcité et la défense des valeurs républicaines. Ce qui nous rassemble est certainement plus important que ce qui nous divise et crée les conditions d’un nouvel espace politique.
Pas de vagues
Faisant suite à l’agression avec une arme d’une enseignante dans un collège, de nombreuses autres personnes ont pris la parole sur les réseaux sociaux pour dénoncer à leur tour les violences qu’elles avaient subies ; auxquelles s’ajoute l’humiliation d’avoir à ne pas les divulguer au nom du principe de « pas de vagues ». Nous soutenons ces initiatives qui ont le mérite de ne plus cacher la réalité de la situation. Camus disait que mal nommer les choses c’est ajouter au malheur du monde. En réponse à cette parole libérée, il convient aussi que les pouvoirs publics interviennent pour sécuriser les établissements, protéger professeurs et élèves par l’action concertée des ministères de l’Intérieur et de l’Éducation nationale. Quant à la municipalité, elle se doit de mettre en place un dispositif de prévention et de sécurité afin d’assurer la sécurité nécessaire à la transmission du savoir…
Gilles Norroy, Touati Ferhat, Maguy Edorh
Pour nous contacter : 07 63 18 53 58