Groupe Socialiste

L
’heure n’est pas à la déception ni aux ressentiments, mais à la mobilisation pour faire barrage au Front National.
Benoît Hamon, notre candidat, malgré une campagne courageuse et résolument tournée vers l’avenir, ne sera pas présent au second tour de l’élection présidentielle.
Nous voulons lui rendre hommage, pour sa détermination et pour avoir mené cette campagne avec passion, sincérité et conviction dans une période difficile.
Merci aux 3 189 Nanterriens qui lui ont accordé leur confiance et ont ainsi manifesté leur désir d’une gauche innovante et leur besoin d’espérance.
Nous regrettons sincèrement que sa vision d’une France plus juste, plus écologique, plus fraternelle, n’ait pas remporté l’adhésion de plus de Français.
21 % des électeurs ont succombé aux promesses populistes du Front National.
En faisant ce choix, ils ont oublié qu’ils prenaient le risque de renoncer aux valeurs de progrès, d’humanisme, de solidarité et de fraternité qui constituent le socle de notre pacte républicain.
Loin de l’effet déflagrateur du 21 avril 2002, ce résultat nous oblige, en tant qu’élus, à prendre immédiatement nos responsabilités face au danger imminent qui guette notre pays.
Aussi, l’heure n’est ni à la déception ni au ressentiment mais à la mobilisation pour faire barrage aux funestes projets de la candidate frontiste.
Fortement attachés à l’Europe, nous voulons éloigner à tout prix l’idée de la quitter.
Nous refusons que la France soit plongée dans une crise financière désastreuse dont elle aura du mal à se relever et dont seraient victimes en premier les gens modestes que le FN prétend défendre.
Nous ne voulons pas d’une société qui exclut, qui stigmatise, qui divise au lieu de rassembler au nom d’un passé idéal qui n’a d’ailleurs jamais existé.
Conscients de la gravité de la situation et inquiets pour notre pays, nous ferons, le 7 mai, un vote responsable. Conservant une confiance totale en nos concitoyens nous ne doutons pas que nombre de femmes et d’hommes de gauches, écologistes, progressistes, républicains de tout bord en feront autant à Nanterre et ailleurs. Seul un sursaut républicain peut nous éviter le pire !
Benoît Hamon, notre candidat, malgré une campagne courageuse et résolument tournée vers l’avenir, ne sera pas présent au second tour de l’élection présidentielle.
Nous voulons lui rendre hommage, pour sa détermination et pour avoir mené cette campagne avec passion, sincérité et conviction dans une période difficile.
Merci aux 3 189 Nanterriens qui lui ont accordé leur confiance et ont ainsi manifesté leur désir d’une gauche innovante et leur besoin d’espérance.
Nous regrettons sincèrement que sa vision d’une France plus juste, plus écologique, plus fraternelle, n’ait pas remporté l’adhésion de plus de Français.
21 % des électeurs ont succombé aux promesses populistes du Front National.
En faisant ce choix, ils ont oublié qu’ils prenaient le risque de renoncer aux valeurs de progrès, d’humanisme, de solidarité et de fraternité qui constituent le socle de notre pacte républicain.
Loin de l’effet déflagrateur du 21 avril 2002, ce résultat nous oblige, en tant qu’élus, à prendre immédiatement nos responsabilités face au danger imminent qui guette notre pays.
Aussi, l’heure n’est ni à la déception ni au ressentiment mais à la mobilisation pour faire barrage aux funestes projets de la candidate frontiste.
Fortement attachés à l’Europe, nous voulons éloigner à tout prix l’idée de la quitter.
Nous refusons que la France soit plongée dans une crise financière désastreuse dont elle aura du mal à se relever et dont seraient victimes en premier les gens modestes que le FN prétend défendre.
Nous ne voulons pas d’une société qui exclut, qui stigmatise, qui divise au lieu de rassembler au nom d’un passé idéal qui n’a d’ailleurs jamais existé.
Conscients de la gravité de la situation et inquiets pour notre pays, nous ferons, le 7 mai, un vote responsable. Conservant une confiance totale en nos concitoyens nous ne doutons pas que nombre de femmes et d’hommes de gauches, écologistes, progressistes, républicains de tout bord en feront autant à Nanterre et ailleurs. Seul un sursaut républicain peut nous éviter le pire !