Habituées des courses féminines de la région parisienne – de La Course des princesses à La Parisienne en passant par les 10KM Paris Centre –, elles ont participé en avril 2016 à leur première course solidaire : la Sénégazelle. « C’était pour nous un moyen de sortir de notre zone de confort. On avait vraiment envie de donner une autre dimension à notre passion pour la course à pied », explique Delphine, l’aînée. « Certes, c’était dur mais on n’a pas regretté, ajoute Sophie. L’accueil des villageois, les moments de partage avec les enfants, l’ambiance entre coureuses… tout nous a plu. C’est pour ça qu’on a décidé de repartir cette année. » Fortes de leur première expérience et à dix mois de leur prochain départ, elles ont déjà réuni toutes les fournitures qu’elles sont autorisées à charger en soute. Et, pour réduire le montant de leur droit d’inscription – la participation à la course s’élève à 3 000 euros par personne –, les deux sœurs ont ouvert une cagnotte sur un site sécurisé de dons en ligne. « Un, deux, cinq euros : tous les dons sont les bienvenus. Il n’y a pas de petits dons, il n’y a que des grands gestes », concluent-elles.
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L’association Bretagne Outdoor organise chaque année plusieurs courses féminines solidaires : la Sénégazelle, la Gazelle au Népal, la Madagazelle et la Batirun. Pour participer, les coureuses doivent récolter des fournitures scolaires et financer elles-mêmes leur voyage (billet d’avion, repas, transports sur place, hébergement dans les villages…).
Course à pied
Elles courent vers la solidarité
En octobre, Sophie et Delphine Noël prendront le départ de la Gazelle au Népal. Cette épreuve associe course à pied féminine et solidarité.
Habituées des courses féminines de la région parisienne – de La Course des princesses à La Parisienne en passant par les 10KM Paris Centre –, elles ont participé en avril 2016 à leur première course solidaire : la Sénégazelle. « C’était pour nous un moyen de sortir de notre zone de confort. On avait vraiment envie de donner une autre dimension à notre passion pour la course à pied », explique Delphine, l’aînée. « Certes, c’était dur mais on n’a pas regretté, ajoute Sophie. L’accueil des villageois, les moments de partage avec les enfants, l’ambiance entre coureuses… tout nous a plu. C’est pour ça qu’on a décidé de repartir cette année. » Fortes de leur première expérience et à dix mois de leur prochain départ, elles ont déjà réuni toutes les fournitures qu’elles sont autorisées à charger en soute. Et, pour réduire le montant de leur droit d’inscription – la participation à la course s’élève à 3 000 euros par personne –, les deux sœurs ont ouvert une cagnotte sur un site sécurisé de dons en ligne. « Un, deux, cinq euros : tous les dons sont les bienvenus. Il n’y a pas de petits dons, il n’y a que des grands gestes », concluent-elles.
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