Champion d’Île-de-France, champion de France et vice-champion du monde… Le palmarès amateur de Yanis Kassem a de quoi faire pâlir les adeptes du muay thaï, l’autre nom de la boxe thaïe. Le jeune élève de Kouider Abdelmoumeni fait désormais partie des espoirs français de la discipline. Repéré par le directeur technique national, il vient d’intégrer l’équipe de France de la Fédération de kick boxing, muay thaï et disciplines associées (FFKMDA). Au mois de juillet, il a participé à Vichy au stage de préparation de la Coupe d’Europe qui se tiendra en octobre à Levallois-Perret. « Défendre les couleurs de la France, c’est pour moi une grande fierté », explique le jeune homme de 20 ans.
Pour concrétiser ce rêve de gosse, Yanis a dû faire bien des sacrifices. Le muay thaï, il est tombé dedans lors d’un voyage en famille en Thaïlande, le pays où cette boxe pieds-poings est reine. Il avait 6 ans. Après avoir tanné ses parents tous les jours, il intègre un an plus tard la section de l’ESN. Repéré par la sélection française alors qu’il fête tout juste son onzième anniversaire, il fait son premier stage à Bangkok où il mange, dort et vit muay thaï. Conquis, il se promet d’y retourner. Lors de sa dernière expatriation au mois de juin, il a vécu deux mois en totale immersion dans une école de la capitale thaïlandaise. Au programme : lever à 6h30, 30 kilomètres de course, séances techniques, combats officiels et… deux repas par jour :
« C’est éprouvant physiquement, mais c’est le meilleur moyen de progresser », assure-t-il. C’est que Yanis Kassem ne compte pas laisser passer sa chance…
Pour concrétiser ce rêve de gosse, Yanis a dû faire bien des sacrifices. Le muay thaï, il est tombé dedans lors d’un voyage en famille en Thaïlande, le pays où cette boxe pieds-poings est reine. Il avait 6 ans. Après avoir tanné ses parents tous les jours, il intègre un an plus tard la section de l’ESN. Repéré par la sélection française alors qu’il fête tout juste son onzième anniversaire, il fait son premier stage à Bangkok où il mange, dort et vit muay thaï. Conquis, il se promet d’y retourner. Lors de sa dernière expatriation au mois de juin, il a vécu deux mois en totale immersion dans une école de la capitale thaïlandaise. Au programme : lever à 6h30, 30 kilomètres de course, séances techniques, combats officiels et… deux repas par jour :
« C’est éprouvant physiquement, mais c’est le meilleur moyen de progresser », assure-t-il. C’est que Yanis Kassem ne compte pas laisser passer sa chance…
