Respect, solidarité, intégration sociale... les valeurs éducatives de l'ovalie ne sont plus à démontrer. À Nanterre, elles se transmettent depuis plus de 20 ans au sein de l’école de rugby, d’abord sous le fanion de l’Entente sportive (ES Nanterre) et, depuis 2012, en ciel et blanc, les couleurs du Racing 92 avec lequel le club s’est associé pour devenir le Racing Nanterre Rugby.
Structurée en cinq sections (des moins de 6 ans aux moins de 14 ans), elle accueille sur la pelouse du stade des Bords-de-Seine quelque 180 jeunes joueurs et joueuses encadrés par onze éducateurs, cinq éducatrices et une vingtaine d'adultes, tous bénévoles, qui s'affairent à longueur d'année pour prendre en charge l’administration et l’intendance.
« En école de rugby, l’important est de créer les conditions du jeu, explique Marielle Beaujouan, en charge des moins de 8 ans et qui joue également en équipe première. Il faut respecter ses copains comme son adversaire. Et faire preuve de solidarité. »
Structurée en cinq sections (des moins de 6 ans aux moins de 14 ans), elle accueille sur la pelouse du stade des Bords-de-Seine quelque 180 jeunes joueurs et joueuses encadrés par onze éducateurs, cinq éducatrices et une vingtaine d'adultes, tous bénévoles, qui s'affairent à longueur d'année pour prendre en charge l’administration et l’intendance.
« En école de rugby, l’important est de créer les conditions du jeu, explique Marielle Beaujouan, en charge des moins de 8 ans et qui joue également en équipe première. Il faut respecter ses copains comme son adversaire. Et faire preuve de solidarité. »
MIXITÉ SOCIALE
Pour Marc Chevallier, le président du club qui fut une grande fi gure du Racing (alors Métro) dans les années 70, l'autre vertu de ce sport sport tient à la mixité sociale : « Nous avons des jeunes issus de catégories sociales et d’origines variées mais, sur le terrain, ils portent tous le même maillot. Nous nous efforçons de les faire progresser tout en préservant leur enthousiasme. Les meilleurs accèdent au plus haut niveau. » C’est le cas de Georges-Henri Colombe, 18 ans, qui a fait les beaux jours du club de Nanterre pendant trois saisons avant de signer au Racing 92 et d’endosser le maillot bleu frappé du coq. Le jeune joueur s’apprête en effet à signer son premier contrat professionnel avec le club des Hauts-de-Seine et il est sélectionné en équipe de France des moins de 20 ans. Un avenir qui en ferait rêver plus d’un.
En attendant, c’est le champion du monde néo- zélandais Dan Carter, en chair et en os, que les « petiots » ont eu le plaisir d’accueillir à l’entraînement au mois de novembre. Le joueur, qui a rejoint le Racing 92 après avoir mis fi n à sa carrière internationale, n’est autre que le parrain de l’école de rugby. Il a échangé quelques passes avec les enfants et signé beaucoup, beaucoup, d’autographes ! « C’est quelqu’un de très accessible, témoigne Marc Chevallier. Les enfants étaient super contents. C’est motivant pour eux de rencontrer un joueur de cette envergure. »
En attendant, c’est le champion du monde néo- zélandais Dan Carter, en chair et en os, que les « petiots » ont eu le plaisir d’accueillir à l’entraînement au mois de novembre. Le joueur, qui a rejoint le Racing 92 après avoir mis fi n à sa carrière internationale, n’est autre que le parrain de l’école de rugby. Il a échangé quelques passes avec les enfants et signé beaucoup, beaucoup, d’autographes ! « C’est quelqu’un de très accessible, témoigne Marc Chevallier. Les enfants étaient super contents. C’est motivant pour eux de rencontrer un joueur de cette envergure. »