Une fois la phase de relogement terminée, la démolition de la résidence de La Boule, plus connue sous le nom de barre Aotep, peut commencer. Depuis mi-septembre, les ouvriers ont investi le site pour préparer et installer le chantier avant l’arrivée des engins de génie civil. Située en zone urbaine dense et à proximité de grands axes de circulation, cette opération, qui s’inscrit dans le cadre de la requalification globale de la place de La Boule, se fera par grignotage. Dix-huit mois seront nécessaires pour venir à bout des 289 logements répartis sur deux bâtiments.
Le chantier entrera ensuite dans une nouvelle phase, celle de la construction. À l’angle des avenues Joliot-Curie et Georges-Clemenceau émergeront de nouveaux immeubles de logements, en locatif social et en accession à la propriété, et de bureaux. Organisés autour d’un cœur d’îlot paysager et préservés de la circulation, ils accueilleront des commerces en rez-de-chaussée. Les espaces publics seront quant à eux minutieusement travaillés.
D’ici à 2030, c’est tout le secteur de la place de La Boule qui profitera de l’arrivée de la ligne 15 du Grand Paris Express, de sa gare et du passage du tramway. Appelée à devenir une nouvelle entrée de ville, la place vit une profonde transformation amorcée avec l’aménagement du secteur Sainte-Geneviève qui bénéficie aujourd’hui de logements, de commerces, d’espaces publics, d’une école et d’un centre de loisirs. Aux abords de l’avenue Georges-Clemenceau, logements et commerces ont également pris place. Quant à la barre Aotep, son devenir a été tranché il y a déjà plusieurs années. Parce qu’une réhabilitation lourde n’aurait pas permis d’offrir un meilleur cadre de vie à ses locataires, le 11 avril 2013, le bailleur social France Habitation et la ville signaient un protocole d’accord pour sa démolition-reconstruction. Trois mois plus tard, une charte de relogement, impliquant les cosignataires et l’amicale de locataires CNL (Confédération nationale du logement) était mise en place pour prendre en compte, le plus finement possible, les besoins des familles. La majorité a été relogée à Nanterre, dans le même quartier ou à proximité, dans des logements neufs conformément aux demandes qu’elles avaient exprimées.
Le chantier entrera ensuite dans une nouvelle phase, celle de la construction. À l’angle des avenues Joliot-Curie et Georges-Clemenceau émergeront de nouveaux immeubles de logements, en locatif social et en accession à la propriété, et de bureaux. Organisés autour d’un cœur d’îlot paysager et préservés de la circulation, ils accueilleront des commerces en rez-de-chaussée. Les espaces publics seront quant à eux minutieusement travaillés.
D’ici à 2030, c’est tout le secteur de la place de La Boule qui profitera de l’arrivée de la ligne 15 du Grand Paris Express, de sa gare et du passage du tramway. Appelée à devenir une nouvelle entrée de ville, la place vit une profonde transformation amorcée avec l’aménagement du secteur Sainte-Geneviève qui bénéficie aujourd’hui de logements, de commerces, d’espaces publics, d’une école et d’un centre de loisirs. Aux abords de l’avenue Georges-Clemenceau, logements et commerces ont également pris place. Quant à la barre Aotep, son devenir a été tranché il y a déjà plusieurs années. Parce qu’une réhabilitation lourde n’aurait pas permis d’offrir un meilleur cadre de vie à ses locataires, le 11 avril 2013, le bailleur social France Habitation et la ville signaient un protocole d’accord pour sa démolition-reconstruction. Trois mois plus tard, une charte de relogement, impliquant les cosignataires et l’amicale de locataires CNL (Confédération nationale du logement) était mise en place pour prendre en compte, le plus finement possible, les besoins des familles. La majorité a été relogée à Nanterre, dans le même quartier ou à proximité, dans des logements neufs conformément aux demandes qu’elles avaient exprimées.