« C’est normal d’être obligé de payer, reconnaît Bilal, 19 ans, mais je trouve que c’est un peu cher. En ce moment, c’est les soldes et avec le temps qu’il fait nous n’avons pas beaucoup de clients… » Bilal, qui vend à bas prix des produits de beauté et de nettoyage, est l'un des cinq anciens commerçants illicites du marché de l’avenue Pablo-Picasso à avoir accepté l’été dernier de régulariser sa situation.
Effectivement, ce mercredi matin pluvieux et froid de janvier, la foule ne se presse pas entre les étals. Mais les habitués du marché peuvent aussi noter un point positif : le trottoir, la piste cyclable et la chaussée sont en grande partie dégagés. Piétons et poussettes peuvent désormais circuler aisément et le bus n’est plus gêné pour s’arrêter. Cela n’a pas toujours été le cas…
Depuis huit mois, une démarche volontaire et systématique a été entreprise pour mettre un terme aux abus constatés sur ce marché. Des abus liés à la présence d’une douzaine de commerçants illicites qui déballaient et vendaient sur l’espace public en dehors du périmètre, au péril de la sécurité et provoquant une concurrence déloyale vis-à-vis des commerçants en règle.
Au printemps dernier, chacun d’eux a été reçu individuellement et s’est vu proposer une place à l’intérieur du périmètre. Cinq ont accepté d’acquitter leur droit de place, parmi lesquels Bilal. D’autres ont préféré quitter les lieux. Plus récemment, mi-janvier, des potelets et des barrières ont été installés pour délimiter le marché et empêcher les débordements. Autant d'actions qui s'inscrivent dans le cadre d'un plan de résorption des difficultés de propreté et de gestion des espaces extérieurs mis en place au Parc-Sud en 2015.
Cependant, tout n’est pas réglé. L’entrée du parking de l’allée Fernand-Léger, qui doit être réservé aux commerçants, a été forcée. Mais petit à petit, les efforts de pédagogie s’avèrent fructueux. Pour la tranquillité des commerçants comme des habitants.
Effectivement, ce mercredi matin pluvieux et froid de janvier, la foule ne se presse pas entre les étals. Mais les habitués du marché peuvent aussi noter un point positif : le trottoir, la piste cyclable et la chaussée sont en grande partie dégagés. Piétons et poussettes peuvent désormais circuler aisément et le bus n’est plus gêné pour s’arrêter. Cela n’a pas toujours été le cas…
Depuis huit mois, une démarche volontaire et systématique a été entreprise pour mettre un terme aux abus constatés sur ce marché. Des abus liés à la présence d’une douzaine de commerçants illicites qui déballaient et vendaient sur l’espace public en dehors du périmètre, au péril de la sécurité et provoquant une concurrence déloyale vis-à-vis des commerçants en règle.
Au printemps dernier, chacun d’eux a été reçu individuellement et s’est vu proposer une place à l’intérieur du périmètre. Cinq ont accepté d’acquitter leur droit de place, parmi lesquels Bilal. D’autres ont préféré quitter les lieux. Plus récemment, mi-janvier, des potelets et des barrières ont été installés pour délimiter le marché et empêcher les débordements. Autant d'actions qui s'inscrivent dans le cadre d'un plan de résorption des difficultés de propreté et de gestion des espaces extérieurs mis en place au Parc-Sud en 2015.
Cependant, tout n’est pas réglé. L’entrée du parking de l’allée Fernand-Léger, qui doit être réservé aux commerçants, a été forcée. Mais petit à petit, les efforts de pédagogie s’avèrent fructueux. Pour la tranquillité des commerçants comme des habitants.