Arrivés par petites grappes, les apprentis cuisiniers s’installent dans le lumineux hall d’entrée du centre social et culturel La Traverse. Aujourd’hui, c’est jour de galette ! Tout sourire, Adeline, l’animatrice qui préside l’atelier, rappelle : « Nous allons confectionner les galettes des rois que nous dégusterons demain avec les habitants, à l’occasion des vœux du centre social. » Car ici, ce n’est pas l’Épiphanie que l’on vient célébrer. Mais plutôt le vivre ensemble : « La fabrication collégiale et intergénérationnelle de la galette des rois n’est qu’un prétexte pour cultiver le lien social, confirme la directrice des lieux, Claire Bourbon. C’est aussi l’occasion de valoriser les savoir-faire de chacun. »
Frangipane, crème d’amandes, beurre et bien sûr fèves… Dans un brouhaha bon enfant, les participants disposent délicatement tous les ingrédients sur la desserte. Et tout le monde met la main à la pâte ! Maguette, venue avec sa fille Marème, l’aide à manipuler le verre doseur. « Je suis ravie de partager ce moment avec elle », s’enthousiasme celle qui « ne manque jamais une occasion de venir ici en famille ». À leurs côtés, la retraitée Amélia bat frénétiquement les œufs. Une fourchette à la main, Maria, la trentaine, s’attarde quant à elle sur le décor de sa galette. « Regardez, apostrophe-t-elle, toutes les cultures sont réunies autour de cette table ! C’est ce mélange qui est beau à voir. » Après trois heures d’atelier, les galettes ne sont pas mal non plus à admirer. Lorsqu’Adeline sort la dernière fournée, les applaudissements retentissent. Si chacun repart sans galette, tous emportent avec eux le souvenir d’un bel après-midi passé ensemble.
Frangipane, crème d’amandes, beurre et bien sûr fèves… Dans un brouhaha bon enfant, les participants disposent délicatement tous les ingrédients sur la desserte. Et tout le monde met la main à la pâte ! Maguette, venue avec sa fille Marème, l’aide à manipuler le verre doseur. « Je suis ravie de partager ce moment avec elle », s’enthousiasme celle qui « ne manque jamais une occasion de venir ici en famille ». À leurs côtés, la retraitée Amélia bat frénétiquement les œufs. Une fourchette à la main, Maria, la trentaine, s’attarde quant à elle sur le décor de sa galette. « Regardez, apostrophe-t-elle, toutes les cultures sont réunies autour de cette table ! C’est ce mélange qui est beau à voir. » Après trois heures d’atelier, les galettes ne sont pas mal non plus à admirer. Lorsqu’Adeline sort la dernière fournée, les applaudissements retentissent. Si chacun repart sans galette, tous emportent avec eux le souvenir d’un bel après-midi passé ensemble.