Quels sont les services regroupés à la MEF ?
Claire Martine : Chaque service est dédié à des publics particuliers. La mission locale concerne les jeunes de 16 à 25 ans à la recherche d’un emploi ou d’une formation. 1 734 jeunes ont été suivis en 2017. Parmi eux, 923 ont trouvé une solution : une formation, un contrat en alternance ou même, pour la grande majorité, un emploi. L’espace insertion s’adresse aux bénéficiaires du revenu de solidarité active (RSA). Nous instruisons toutes les demandes et environ un tiers de ces personnes, soit 804 actuellement, sont accompagnées. En 2017, 384 bénéficiaires ont eu une « sortie positive », surtout des retours à l’emploi. Nous proposons aussi un plan local pour l’insertion et l’emploi (Plie) qui est un accompagnement intensif auprès des chômeurs de longue durée pour les aider à se reconstruire. Dans le cadre du Plie, environ 550 personnes ont été suivies en 2017.
Comment se concrétise ce travail ?
C.M. : Nous mettons en place des ateliers pour transmettre les codes de l’entreprise, pour simuler des entretiens d’embauche, etc. Nous organisons également des sessions de recrutement pour le compte de certaines entreprises. Nous positionnons en priorité nos publics, en s’assurant qu’ils soient préparés afin d’éviter de nouveaux échecs. La notion de parcours vers l’emploi est très importante et même des contrats de 15 jours ou un mois sont importants sur un CV.
Vous appuyez-vous sur les clauses d’insertion des marchés publics en vigueur à Nanterre ?
C.M. : Tout à fait. Ces contrats qui imposent d’employer du personnel en insertion sont de plus en plus nombreux et nous avons un service pour cela. Il y a beaucoup de chantiers à Nanterre, ce qui permet de construire des parcours d’insertion. Ce sont surtout les hommes qui en bénéficient pour l’instant. Nous réfléchissons donc au développement de marchés dans le domaine administratif pour impliquer davantage les femmes.
Claire Martine : Chaque service est dédié à des publics particuliers. La mission locale concerne les jeunes de 16 à 25 ans à la recherche d’un emploi ou d’une formation. 1 734 jeunes ont été suivis en 2017. Parmi eux, 923 ont trouvé une solution : une formation, un contrat en alternance ou même, pour la grande majorité, un emploi. L’espace insertion s’adresse aux bénéficiaires du revenu de solidarité active (RSA). Nous instruisons toutes les demandes et environ un tiers de ces personnes, soit 804 actuellement, sont accompagnées. En 2017, 384 bénéficiaires ont eu une « sortie positive », surtout des retours à l’emploi. Nous proposons aussi un plan local pour l’insertion et l’emploi (Plie) qui est un accompagnement intensif auprès des chômeurs de longue durée pour les aider à se reconstruire. Dans le cadre du Plie, environ 550 personnes ont été suivies en 2017.
Comment se concrétise ce travail ?
C.M. : Nous mettons en place des ateliers pour transmettre les codes de l’entreprise, pour simuler des entretiens d’embauche, etc. Nous organisons également des sessions de recrutement pour le compte de certaines entreprises. Nous positionnons en priorité nos publics, en s’assurant qu’ils soient préparés afin d’éviter de nouveaux échecs. La notion de parcours vers l’emploi est très importante et même des contrats de 15 jours ou un mois sont importants sur un CV.
Vous appuyez-vous sur les clauses d’insertion des marchés publics en vigueur à Nanterre ?
C.M. : Tout à fait. Ces contrats qui imposent d’employer du personnel en insertion sont de plus en plus nombreux et nous avons un service pour cela. Il y a beaucoup de chantiers à Nanterre, ce qui permet de construire des parcours d’insertion. Ce sont surtout les hommes qui en bénéficient pour l’instant. Nous réfléchissons donc au développement de marchés dans le domaine administratif pour impliquer davantage les femmes.