Zohair n’est pas un inconnu à Nanterre. Ces derniers mois, le public l’a applaudi en première partie d’Hindi Zahra à Daniel-Féry, à l’occasion du spectacle de Faada Freddy à la Maison de la musique et aussi à l’occasion de la Semaine de Ouf. « Toutes ces scènes m’ont été offertes par Maxime et Sandrine de la Maison Daniel-Féry. Je leur dois beaucoup », insiste celui dont les inspirations vont de Tracy Chapman à Souchon, en passant par Anis et Vianney.
Zohair est en effet accompagné depuis une dizaine d’années par l’équipe du développement culturel. Un compagnonnage qui remonte à l’atelier de chant animé par le jeune chanteur du Chemin-de-l’Île. « À l’époque, j’encadrais un groupe à la Maison Daniel-Féry. On restituait notre travail à la Fête de la musique et on a même eu un de nos morceaux dans une compilation ! »
Depuis ce temps-là, dès que l’occasion se présente, il chante dans les bars. Il a également profi té de son accréditation à la RATP pour jouer dans le métro. « J’aime chanter le soir et, comme je ne voulais pas réveiller mes parents, je prenais ma guitare et ma voiture direction la place de la République pour jouer de 22 heures à 1 heure du mat’. » Et de préciser : « J’ai toujours voulu chanter. Depuis l’âge de 12 ans, je reprends les chansons d’Idir et de Goldman. Alors, après mon DUT Techniques commerciales, j’ai pris des cours de chant auprès de Richard Cross et j’ai suivi une formation d’art dramatique au conservatoire du XXe arrondissement. »
C’est à cette période qu’il est repéré dans le cadre d’un concours au théâtre du Rond-Point. Mais les choses ne décollent pas comme il l’espère… « J’ai arrêté la musique pour des raisons personnelles avant de reprendre ma guitare l’an dernier. L’équipe de Daniel-Féry m’a redonné confiance en moi et remis sur les rails. » L’EP « À l’essentiel » est sorti en décembre et le clip devrait être mis en ligne dans les prochaines semaines. Son guitariste résume bien l’enjeu :
« Zohair est dans une période charnière. Il a la trentaine et réussit à présent à s’entourer de musiciens professionnels pour jouer à fond sa chance. »
Zohair est en effet accompagné depuis une dizaine d’années par l’équipe du développement culturel. Un compagnonnage qui remonte à l’atelier de chant animé par le jeune chanteur du Chemin-de-l’Île. « À l’époque, j’encadrais un groupe à la Maison Daniel-Féry. On restituait notre travail à la Fête de la musique et on a même eu un de nos morceaux dans une compilation ! »
Depuis ce temps-là, dès que l’occasion se présente, il chante dans les bars. Il a également profi té de son accréditation à la RATP pour jouer dans le métro. « J’aime chanter le soir et, comme je ne voulais pas réveiller mes parents, je prenais ma guitare et ma voiture direction la place de la République pour jouer de 22 heures à 1 heure du mat’. » Et de préciser : « J’ai toujours voulu chanter. Depuis l’âge de 12 ans, je reprends les chansons d’Idir et de Goldman. Alors, après mon DUT Techniques commerciales, j’ai pris des cours de chant auprès de Richard Cross et j’ai suivi une formation d’art dramatique au conservatoire du XXe arrondissement. »
C’est à cette période qu’il est repéré dans le cadre d’un concours au théâtre du Rond-Point. Mais les choses ne décollent pas comme il l’espère… « J’ai arrêté la musique pour des raisons personnelles avant de reprendre ma guitare l’an dernier. L’équipe de Daniel-Féry m’a redonné confiance en moi et remis sur les rails. » L’EP « À l’essentiel » est sorti en décembre et le clip devrait être mis en ligne dans les prochaines semaines. Son guitariste résume bien l’enjeu :
« Zohair est dans une période charnière. Il a la trentaine et réussit à présent à s’entourer de musiciens professionnels pour jouer à fond sa chance. »