En cet après-midi chaud et ensoleillé d’avril, sur la dalle des cinq tours au Chemin-de-l’Île, le plaisir se lit sur les visages des enfants de l’association Cerise. Les mains dans la terre ou agrippées à un arrosoir, ils préparent les plantations de thym, lavande et romarin dans des jardinières qui agrémenteront la nouvelle pelouse en bas de chez eux. Marine, bénévole pour Cerise et locataire dans l’une des tours, approuve : « L’idée est bonne car cet endroit n’était pas mis en valeur. Ces plantations créeront l’occasion pour les gens qui viendront les arroser de se rencontrer. »
Embellir son quartier fait de plus en plus d’émules parmi les habitants. Au printemps 2017, c’est à l’initiative d’une résidente que des jardinières ont été installées au pied des immeubles des allées d’Alembert et Réjane. Plus récemment, une habitante des Provinces-Françaises, Magali Loustau, a participé à la conception du futur jardin partagé de ce secteur en pleine transformation, et a proposé d’arranger un terrain délaissé à l’arrière de l’allée de Normandie. Autre démarche originale, celle de Guillaume Muller pour réimplanter l’arbre fruitier traditionnel de Nanterre, l’amandier, dans différents endroits de la ville. Tous ces projets font l’objet de demandes de financement dans le cadre des budgets participatifs.
Côté propreté, les habitants ne sont pas en reste. Au Parc Sud, une habitante, Nabila Belkhider-Chicha, aidée de sa soeur, a créé l’association Les Pies vertes et mobilise petits et grands pour des séances de ramassage des déchets. De même, au Petit-Nanterre, les associations ont organisé une grande course « à la ramasse » dans le quartier, à l’occasion de leur fête des voisins et de la clôture d’ÉcoZone. Cette action des habitants qui agissent pour améliorer leur environnement se trouve aussi formidablement illustrée dans le quartier Université. Ici, un réseau citoyen « d’embellisseurs » nommé Graines d’Université a vu le jour. Il regroupe écoles, centres de loisirs, services municipaux, bailleurs sociaux, régie de quartier et l’association Labeess de la fac. Son objectif : mettre en valeur le moindre espace vert du quartier, transmettre au plus grand nombre le virus du jardinage et amener tout le monde à apprécier et à respecter le travail accompli. Cette année, en mai et en juin, une série d’animations réunit les habitants. Une belle dynamique vers un quartier toujours plus attrayant.
Embellir son quartier fait de plus en plus d’émules parmi les habitants. Au printemps 2017, c’est à l’initiative d’une résidente que des jardinières ont été installées au pied des immeubles des allées d’Alembert et Réjane. Plus récemment, une habitante des Provinces-Françaises, Magali Loustau, a participé à la conception du futur jardin partagé de ce secteur en pleine transformation, et a proposé d’arranger un terrain délaissé à l’arrière de l’allée de Normandie. Autre démarche originale, celle de Guillaume Muller pour réimplanter l’arbre fruitier traditionnel de Nanterre, l’amandier, dans différents endroits de la ville. Tous ces projets font l’objet de demandes de financement dans le cadre des budgets participatifs.
Côté propreté, les habitants ne sont pas en reste. Au Parc Sud, une habitante, Nabila Belkhider-Chicha, aidée de sa soeur, a créé l’association Les Pies vertes et mobilise petits et grands pour des séances de ramassage des déchets. De même, au Petit-Nanterre, les associations ont organisé une grande course « à la ramasse » dans le quartier, à l’occasion de leur fête des voisins et de la clôture d’ÉcoZone. Cette action des habitants qui agissent pour améliorer leur environnement se trouve aussi formidablement illustrée dans le quartier Université. Ici, un réseau citoyen « d’embellisseurs » nommé Graines d’Université a vu le jour. Il regroupe écoles, centres de loisirs, services municipaux, bailleurs sociaux, régie de quartier et l’association Labeess de la fac. Son objectif : mettre en valeur le moindre espace vert du quartier, transmettre au plus grand nombre le virus du jardinage et amener tout le monde à apprécier et à respecter le travail accompli. Cette année, en mai et en juin, une série d’animations réunit les habitants. Une belle dynamique vers un quartier toujours plus attrayant.
