En ville, la voiture n'est pas toujours indispensable.
À Nanterre, la politique municipale vise à encourager les modes de déplacements qui produisent peu (ou pas) de CO2, favorisent l'activité physique et contribuent à apaiser la circulation en ville. La marche, d’abord. Jalonnement des parcours, aménagement des trottoirs et des carrefours pour les personnes à mobilité réduite contribuent à faciliter les déplacements piétons. La pratique du vélo est aussi encouragée grâce à l’aménagement d’un réseau cyclable de 60 km et à la création de plus de 800 places de stationnement. D’ici à l’été, les huit stations Vélib’2 prévues à Nanterre seront installées.
Les gares, elles-mêmes, deviennent peu à peu des plateformes de mobilité durable, à l’interface des modes de transports collectifs et individuels, classiques ou alternatifs, comme le partage de voitures électriques (33 stations Autolib' sont en service à Nanterre). Sur le parvis de la gare Nanterre-Université, le passage du tram T1 a été anticipé et une consigne Véligo de 100 places a été mise en service en 2016. L’équipement des gares de Nanterre-Ville et Nanterre-Préfecture est en cours de réflexion. Une chose est sûre : les futures gares de La Boule et des Groues (Ligne 15 du métro Grand Paris Express et RER E) n’échapperont pas aux nouvelles normes !
Ecologie urbaine
La mobilité active : pensez-y !
Pour limiter l’impact des transports sur l’environnement, la ville incite les usagers à changer leurs modes de déplacements.
Le saviez-vous ?
Le saviez-vous ?
Nanterre est desservie par la ligne A du RER (3 gares), la ligne L du Transilien et 19 lignes de bus interurbaines, urbaines et nocturnes. En décembre 2017, la ville a obtenu l’arrêt systématique du RER en gare de Nanterre-Ville.
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