Depuis trois ans, Mohamed suit des cours de natation grâce à l’intervention d’un professionnel de l’association Les Espaces ouverts. Un volontaire engagé dans un service civique aide en effet cet enfant autiste âgé de dix ans à suivre les consignes et à s’intégrer dans le groupe.
Le dispositif « Vie dans la ville » est né d’un partenariat entre la ville et l’association dont la vocation est de favoriser l’intégration et l’autonomie de tous les enfants. Il concerne à ce jour sept enfants qui pratiquent le taekwondo, la danse hip hop, les arts plastiques…
« Ce service permet à mon fils de vivre comme sa sœur ou les copains de son âge, de faire du sport et de se sociabiliser. » Khadidja Bouadi ajoute que la natation fait énormément de bien à Mohamed. « Il est hyperactif. L’eau l’apaise. » Le jeune garçon, qui réalise de beaux progrès, réussit même à exprimer sa satisfaction d’aller à la piscine toutes les semaines. « Je remercie la mission handicap de la ville et l’association qui offrent ce service gratuitement, insiste Kadidja qui n’aurait pas pu se payer des cours privés avec ses revenus. Ce type de dispositif change le destin de mon fils car il lui permet d’être accueilli dans des structures ordinaires. » Certains « experts » avaient pourtant prédit que le petit garçon, alors âgé de trois ans, irait en hôpital de jour. Aujourd’hui, Mohamed pratique un sport, fréquente les centres de loisirs et l’école du Centre. « Mon fils trouve sa place. Et même si ce n’est pas facile tous les jours, je ne peux que m’en réjouir ! »
Le dispositif « Vie dans la ville » est né d’un partenariat entre la ville et l’association dont la vocation est de favoriser l’intégration et l’autonomie de tous les enfants. Il concerne à ce jour sept enfants qui pratiquent le taekwondo, la danse hip hop, les arts plastiques…
« Ce service permet à mon fils de vivre comme sa sœur ou les copains de son âge, de faire du sport et de se sociabiliser. » Khadidja Bouadi ajoute que la natation fait énormément de bien à Mohamed. « Il est hyperactif. L’eau l’apaise. » Le jeune garçon, qui réalise de beaux progrès, réussit même à exprimer sa satisfaction d’aller à la piscine toutes les semaines. « Je remercie la mission handicap de la ville et l’association qui offrent ce service gratuitement, insiste Kadidja qui n’aurait pas pu se payer des cours privés avec ses revenus. Ce type de dispositif change le destin de mon fils car il lui permet d’être accueilli dans des structures ordinaires. » Certains « experts » avaient pourtant prédit que le petit garçon, alors âgé de trois ans, irait en hôpital de jour. Aujourd’hui, Mohamed pratique un sport, fréquente les centres de loisirs et l’école du Centre. « Mon fils trouve sa place. Et même si ce n’est pas facile tous les jours, je ne peux que m’en réjouir ! »