« Au départ, quand je me suis renseignée sur le fonctionnement de Coopaname, je croyais qu’il y avait un loup, confie Corinne Chatelain, restauratrice de meubles anciens. C’était idyllique, cette coopérative me permettait de me mettre à mon compte sans créer d’entreprise. » L’indépendance de l’entrepreneur et la protection d’un salarié en CDI, en somme…
Depuis, Corinne Chatelain ne regrette pas d’avoir rejoint Coopaname. « Je touche un salaire tous les mois et je suis protégée par la Sécurité sociale. C’est rassurant. Dernièrement, j’ai eu une baisse d’activité : Coopaname a continué de me verser mon salaire. » Cette ébéniste est également ravie d’être déchargée des questions administratives et comptables gérées par l’équipe de Coopaname qui centralise l’argent gagné par les coopérateurs et leur verse ensuite une rémunération. Au passage, la coopérative prend 11,5 % de la marge brute. Le prix du confort pour Corinne qui ajoute qu’à ce tarif, la coopérative lui ouvre également un réseau. « En créant mon activité, je ne voulais surtout pas être isolée. Alors, je suis contente que Coopaname facilite les rencontres entre les membres. Par exemple, nous déjeunons ensemble une fois par mois. C’est d’ailleurs comme ça que j’ai rencontré une tapissière qui partage aujourd’hui mon atelier au Mont-Valérien. »
La structure offre également ses locaux du 2, avenue Félix-Faure, soit 150 m² répartis en un espace de coworking, une salle de réunion et une salle de formation. Une référente y est présente trois jours par semaine pour épauler les 150 membres de Coopaname Nanterre. « J’accompagne aussi bien des artisans que des coachs en management ou des conseillers en communication. Les activités sont très variées », conclut Marie Lesage.
Depuis, Corinne Chatelain ne regrette pas d’avoir rejoint Coopaname. « Je touche un salaire tous les mois et je suis protégée par la Sécurité sociale. C’est rassurant. Dernièrement, j’ai eu une baisse d’activité : Coopaname a continué de me verser mon salaire. » Cette ébéniste est également ravie d’être déchargée des questions administratives et comptables gérées par l’équipe de Coopaname qui centralise l’argent gagné par les coopérateurs et leur verse ensuite une rémunération. Au passage, la coopérative prend 11,5 % de la marge brute. Le prix du confort pour Corinne qui ajoute qu’à ce tarif, la coopérative lui ouvre également un réseau. « En créant mon activité, je ne voulais surtout pas être isolée. Alors, je suis contente que Coopaname facilite les rencontres entre les membres. Par exemple, nous déjeunons ensemble une fois par mois. C’est d’ailleurs comme ça que j’ai rencontré une tapissière qui partage aujourd’hui mon atelier au Mont-Valérien. »
La structure offre également ses locaux du 2, avenue Félix-Faure, soit 150 m² répartis en un espace de coworking, une salle de réunion et une salle de formation. Une référente y est présente trois jours par semaine pour épauler les 150 membres de Coopaname Nanterre. « J’accompagne aussi bien des artisans que des coachs en management ou des conseillers en communication. Les activités sont très variées », conclut Marie Lesage.
À l’occasion du mois de l’ESS, rencontrez les entrepreneurs
de Coopaname lundi 21 novembre de 14h à 16h dans les locaux de l’Assol, 31, rue des Ombraies. Coopaname organise également des portes ouvertes lundi 28 novembre de 16h
à 21h, au 2, allée Félix-Faure.